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Carnet Martyre de saint Thomas Becket (M 031) (Côté gauche)Carnet Martyre de saint Thomas Becket (M 031) (Côté Droit)
Carnet Martyre de saint Thomas Becket (M 031) (Devant)
16,45 €
par carnet
 

Carnet Martyre de saint Thomas Becket (M 031)

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A propos de Carnets

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Modèle: Carnet classique 16,5 x 22,2 cm

Organisez votre journée sur un carnet personnalisé ! Imprimé avec vos images et texte sur la couverture, ce carnet est un excellent moyen d'afficher votre style personnel et de garder trace de toutes les notes et les rendez-vous importants à la fois.

  • Dimensions : 16,5 cm x 22,2 cm.
  • Couverture imprimée avec des couleurs éclatantes
  • 80 pages lignées en noir et blanc
  • Papier ligné
  • Avec spirales
Ce produit est recommandé à partir de 8 ans et plus.
Astuce du Créateur : pour assurer la plus haute qualité d'impression, veuillez noter que la superficie personnalisable de ce produit mesure : 16,5 cm x 22,23 cm. Pour un résultat optimal, ajoutez 0,125 cm de marges perdues.

À propos de ce design

Les parties en cuir sont simulées par le design. Il n'y aura pas de cuir sur ce produit.
Carnet Martyre de saint Thomas Becket (M 031)

Carnet Martyre de saint Thomas Becket (M 031)

À son tribunal de Noël de 1170 à Bures, en Normandie, dans un accès de rage, Henry II, roi d'Angleterre, avait attaqué Thomas Becket, son ancien ami, ancien chancelier, et l'archevêque actuel de Canterbury, récemment rentré d'exil. On dit qu'il a mis fin à sa diatribe : "Personne ne me débarrassera-t-il de ce curé turbulent ?" Et quatre de ses chevaliers avaient pris ses paroles comme un appel pas si subtil à l'action contre le prélat. Quelques jours plus tard, le 29 décembre, Becket était mort, ses cerveaux s'étalaient sur le sol de sa cathédrale. C'était un meurtre qui a secoué la chrétienté médiévale. + Il existe plusieurs versions écrites contemporaines de l’assassinat brutal, plus particulièrement le récit d’Edward Grim, porte-parole de Becket, témoin oculaire du jour funeste. Cette représentation visuelle de c. 1471, peint sous le règne d'Henri V, est plus coloré, graphique et détaillé que notre premier (Comparer M 030). Ce petit tableau en chêne Tudor, aujourd'hui très détérioré, était accroché au tombeau d'Henri IV à Canterbury, où il est encore conservé. Il a été jumelé à une autre peinture de la même période représentant la pénitence de Henri II (voir M 033). + Il convient de noter qu'il n'est pas toujours possible de concilier le texte avec l'artistique. Les détails varient, ce qui n'est pas surprenant compte tenu des circonstances, du temps écoulé et de la licence artistique. + Ici, Sir William Tracey avec le bouclier rouge et jaune et l'épée sanglante est décrit comme ayant déjà pris le premier coup à Becket, frappant son casquette de sa tête et blessant le moine Edward Grim à l'avant-bras. Maintenant debout derrière l’autel, Grim avait tenté de repousser le coup avec son propre crosier de Becket en vain. Grim, qui contacte les yeux de Tracey, réagit avec douleur à sa blessure et horreur à l'attaque. Le deuxième chevalier, sir Reginald FitzUrse, qui était probablement le chef des complots, est identifiable par les ours sur son surcoat, c'est-à-dire la tunique portée par un chevalier sur son armure. FitzUrse frappe le sommet de la tête de Becket et met l’archevêque à genoux. En saignant du cuir chevelu, Becket se met debout dans une attitude de prière et de résignation. Sir Richard Brito (ou de Breton) dans le casque et le survêtement en plumée avec une conception de têtes de sangliers ou d’ours muselés atterrit le coup final, une coupe latérale. Pourtant, il n’est pas représenté ici avec la viciosité de l’accident vasculaire cérébral : Brito a en fait renversé le crâne de Becket en brisant l’épée sur le trottoir en pierre du processus! Dans la frénésie de surcoat bleu avec une fleur de lys dans chaque fret, Sir Hugh de Morville commence tout juste à dévoiler son épée d'un écharpe rouge. Sur les quatre chevaliers, seul Morville ne frappa pas l'archevêque, mais empêcha la foule de venir à son aide. Une cinquième personne, qui n’est pas montrée ici, un ecclésiastique du nom de Hugh d’Horsea, posa son pied sur le cou de Becket et répandit son cerveau et son sang avec la pointe de son épée à travers le sol en s’exclamant : "Laissez-nous partir, chevaliers, il ne se lèvera plus." + Le texte derrière les chiffres reste indéchiffrable. + St Thomas Becket est le patron du clergé laïc. + Fête : 29 décembre + Crédit photo (M 031) : Détail du martyre de Saint Thomas de Canterbury, gravure en couleur par J. Carter, 1786, de la Collection Wellcome (Bibliothèque Wellcome n° 7281i). Attribution 4.0 International (CC BY 4.0). L’ouvrage de John Carter intitulé Specimens of Ancient Painting and Sculpture (Vol.1; Londres, 1780, 1787), p. 60, aurait été publié en gros caractères. Notre description varie quelque peu du récit du Révérend M. Milner, de la Maison Saint-Pierre, Winchester, dans le livre aux pages 57 à 58. Nous nous basons sur le récit de témoin de Grim et une étude de l’héraldique.
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Identifiant du produit : 130819876798696004
Fabriqué le 15/06/2020 8:18
Évalué G